Tu te souviens de chaque détail, de chaque sensation, de chaque ordre que tu avais reçu, de chaque hypothèse que tu avais formée dans un coin de ta petite tête dans l’espoir que tout se passera comme prévu. Et tu étais passé à l'action, tu avais commencé à agir dans l’ombre durant un simple repas, une simple soirée normalement dépourvue d’importance. Tu avais dérobé discrètement la cape d’invisibilité d’Andy, sans que cette dernière ne s’aperçoive, sans qu’elle ne se méfie de toi. Comment aurait-elle pu savoir la conséquence de cet acte ?
Le regard parcourant la foule, observant précautionneusement. Démarche assuré, coup d'œil à Earl qui se trouvait à tes côtés. Puis regard vagabondant vers tes connaissances personnelles, les connaissances de ton père et les tiennes. Sourire fin et discret, remerciements silencieux ; les photos qu’avait obtenues ton père étaient fidèles à cet endroit que tu semblais à la fois détester et aduler. Tu étais paradoxe, tu étais contradiction, tu étais simplement Dave Lowell Shumman. La foule s’avance et tu te perds dedans. Pendant un instant tu oublies pourquoi tu es là, que ton père et tout les autres comptent sur toi.
Tu écoutes attentivement le discours d’Orphan Scamander. Une rage gronde en toi comme un volcan. Cet homme ne méritait que de mourir, et tu rêvais Dave de le tuer de tes propres mains. Mais l’heure de la vengeance n’étais pas encore arrivée. Tu devais encore te salir les mains avant de les passer autour de sa nuque. La haine encore brûlante au ventre, tu t’éloignes dans un coin, à l’abri de la presse et des regards curieux. Il s’organise une drôle d’agitation qui t’arrange. Tu les surveilles du coin de l’oeil, tout en sortant plusieurs cachets de ton sac. En dessous de la cape d’invisibilité volée se dissimulent quatre seringues au liquide bleuté.
”L’enlèvement de Harry Fitzgerald”:
Tu te dirigeais un verre à la main vers Earl, quand cet idiot de cracmol te bouscula, manquant de faire renverser ton verre. Essayant de sortir ton plus beau sourire, tu lui tendis la main pour le relever. « Fais attention ou tu vas, Fitzgerald. » Sombre idiot. « Tu as soif ? » Dépêche toi de boire, tu m’emmerdes. Le jeune cracmol finit par céder dans un sourire pendant que tu l’entrainais pour discuter un peu plus loin. La cape d’invisibilité sur le bras, à peine s’était-il éteint dans un sommeil profond que tu le recouvris de la cape à tes côtés, le portant difficilement vers une des cheminées ou un collègue de ton père attendait.
”L’enlèvement de Earl Grace”:
Et il allait falloir que tu réitères cette opération plus d’une dizaine de fois. Tu étais déjà fatigué. Mais il allait falloir que tu t’accroches, car ton père comptait sur toi. C’était le tour de Earl, désormais. Le seul et unique que tu appréciais réellement. Persuadé que ça finira vite pour lui, tu te diriges dans sa direction avec un nouveau verre dans la main. « Je peux venir te montrer un truc s’il te plait ? Une petite expérience et j’ai besoin d’un cobaye. » A sa mine sceptique, tu exploses d’un rire faussement bienveillant. « C’est bon mec, il ne va rien t’arriver. Tu me fais confiance ? » Pardonne moi Earl, ça se terminera rapidement. Ton meilleur ami accepte, et tu soupires de soulagement quand il te tombe dans les bras, déjà sous la cape.
”L’enlèvement de Sloan Smith”:
Généralement, tout se passait très bien. Ce fut le cas de Sloan Smith, qui accepta de boire bien gentiment, alors que tu l’avais précautionneusement éloigné de Age Solheim, une autre victime sur la liste de ton paternel. Une main autour de son épaule, tu le trainais avec difficulté sous la cape, laissant tomber le verre en plastique qui alla se loger sous la table du buffet. Car oui, les gens commençaient à se disperser.
”L’enlèvement de Kinga Vince”:
Kinga Vince, relation étrange que tu n’avais pas encore eu l’occasion de réellement approfondir. Mais de ce que tu avais observé cette dernière année, tu savais parfaitement comment t’y prendre. Un sourire charismatique greffé à ses lèvres perfides, tu lui tendis un verre auquel tu avais mélangé un peu de firewhisky caché dans ton sac. « Vince, un cocktail psychédélique pour célébrer notre mort imminente ? Je te jure qu’avec ce que je t’ai mis là dedans, tu ne risques pas de te réveiller demain. » Naive. Peut-être que tu vas réellement crever là-dedans. Et le manège continue.
”L’enlèvement de Clark Prewett”:
Les sang-purs te dégoutaient profondément. Tu tentais vainement de dissimuler ton mépris quand tu te planta face à lui. L’air détaché, tu lui tendis le verre dans un premier temps. Clark Prewett arborait un comportement étrange et débuta un long monologue. Etrangement, c’est lui même qui t'éloigne de la foule pour commencer à te parler de manière pompeuse. Qu’est-ce qu’il te veux ce sombre abruti ? Une médaille de la sympathie ? Bois putain, bois. Finalement, entre deux flots de parole, le voilà qui apporte le verre à ses lèvres pour se désaltérer. Et qui tombe comme une masse sous la cape d’invisibilité qui désormais l’enveloppait.
”L’enlèvement de Age Solheim”:
Depuis combien de temps faisais-tu ça ? Tu étais un putain de ninja Dave. Bordel, et un sombre connard. Un traitre. Mais étrangement, la culpabilité s’évaporait en y repensant. Les choses se corsaient, car il était temps de devoir utiliser une des seringues qu’on t’avait envoyé. Age Solheim faisait parti des variables qui jamais ne boirait. Tu t’approches de Age, qui semblait chercher Sloan sûrement. Un verre à la main tout de même et la seringue cachée sous ta manche, tu t’approches d’elle. « Solheim ? Tu as soi-... » Celle si t’ignore royalement, tu fronces les sourcils en l’imaginant mourir sous tes mains. Tu attrapes son bras et plante la seringue dans le creux de ses reins. « Oh, Age, tu vas bien ? » La voilà qui s’éteint. Tu sers son poignet si fort que tu as du lui laisser des marques.
”L’enlèvement de Arya Strauss”:
C’était le tour d’Arya. Tu n’étais pas vraiment sûr de comment elle allait réagir. Mais de ce que tu avais pu observer, c’était plus négatif que positif. Elle errait dans la foule et tu lui fis un signe de la main. Le Ministre venait de revenir sur scène pour prononcer quelques mots. La foule braquée sur lui, les flashs des appareils photos résonnait dans l’immense salle. « Strauss, tu as soif ? » C’était particulièrement désagréable pour toi de feindre la sympathie. Et Arya semblait l’avoir senti, car elle te toise sans accepter. Tu t’approches d’elle, sans quitter ce sourire fou qui t’allait à merveille et te colle presque à elle. « Ce n’est pas très poli de refuser mon amitié Arya. » A quelques centimètres de son visage, tu plantes la seringue dans au niveau de ses côtes, injectant le liquide bleu avec lenteur. Etrangement, la voir se décomposer face au sommeil forcé qui se répandait sous ses veines t’inspirait grande joie. « La prochaine fois peut-être que tu te montreras plus coopérative. »
”L’enlèvement de Croyance Halloway”:
Croyance fut une source de stress en moins pour toi. Cette personne aurait pu t’inspirer de la pitié si tu avais pu en ressentir. Mais ce n’était pas vraiment le cas et tu espérais te débarrasser de lui rapidement. Comme s’il avait écouté tes prières, il fut l’un de ceux qui se méfia le moins, acceptant de te suivre pour discuter. Sachant que vous n’étiez pas réellement proche, improviser une conversation avec lui était une entreprise difficile. Mais quand il finit par boire le verre et s’effondrer dans tes bras, tu l’emmenas rapidement vers la cheminée.
”L’enlèvement de Finn Tudor”:
Pour enlever Finn Tudor, tu avais un objectif : L’éloigner de sa soeur Maybelline. Depuis le début, tu remerciais le ciel d’avoir pu voler cette cape d'invisibilité à Andy. Car la youtubeuse filmait tout l'évènement, ce qui aurait pu te compliquer la tâche. Heureusement, celle-ci avait sa caméra braquée sur le ministre. « Bonjour Finn. Comment te sens-tu après cette annonce ? Moi je n’arrive pas à croire. » J’ai surtout envie d’assassiner le directeur. Un sourire guilleret au visage, tu lui tends un verre. « J’ai vu ta story instagram. » Non je ne l’ai pas vu et je m’en fiche. En réalité tu avais hâte qu’il boive. Pas le temps pour les selfies, désolé. Il tombe dans tes bras, tu l’enveloppes de ta cape et lui vole son téléphone. ça finirait écrasé sous ton pied.
”L’enlèvement de Valentyne Rosebury”:
Il allait falloir redoubler d’ingéniosité. Rosebury n’avait pas quitté De Shrewbury depuis qu’ils étaient arrivés au ministère. Bordel, et vous n’étiez pas en bon termes. Tu le sens mal. Tu t’avances vers elle, misant toutes tes chances sur ton jeu d’acteur. « Rosebury, est-ce que je peux te parler s’il te plait ? J’ai quelque chose à te dire… » Mefiante mais intriguée, elle accepte de te suivre malgré le fait qu’elle ne semble pas réellement ravi de te voir. C’était réciproque. Tu lui tends un verre, serrant le tien dans ta main également. « J’ai beaucoup réfléchi, je suis vraiment désolé pour tout ce qu’il s’est passé entre nous. J’ai trouvé ton intervention courageuse. » Non, elle était ridicule. Tout comme toi. « Tu penses qu’on pourrait redevenir amis ? » Valentyne hausse un sourcil, et amène le verre à ses lèvres. C’est ta fin, Rosebury. « Comme c’est dommage… »
”L’enlèvement de Sam Hassam”:
Ce type là aurait pu être ton ami. Tu le sentais que quelque chose ne tournait pas rond dans sa tête. Ca se voyait sur son visage qu’il était tordu. Mais presque trop pour toi. C’était sûr que ce type là ne boirait pas n’importe quoi de n’importe qui. Sans même préparer de verre, le sac sur l’épaule tu te diriges vers un des derniers à enlever. La troisième seringue cachée sous la manche, il était déjà tout seul. C’était parfait. Tu t’approches de lui, et te met dos à au mur à côté de lui. « Salut. » Froid, tu n’as pas besoin d’en faire des caisses. « Je suis pas désolé pour ce que je vais faire. » Tu plantes la seringue dans son bras que tu venais de serrer. La cape d'invisibilité s’étale sur vous et vous disparaissez sans que personne n’en est quelque chose à faire.
”L’enlèvement de Dawn Callaghan”:
Dawn était beaucoup trop gentille pour toi Dave. Le genre de sympathie qui te donne envie de vomir. Mais elle était également trop facile à manipuler, ce qui fut de son enlèvement une réelle partie de plaisir. Elle but sans même se poser de question et l'entraîner comme les autres fut facile tant elle était légère à porter.
”L’enlèvement de Nassim Bil Khalil”:
Bon, il ne restait désormais que Nassim et Andy. Tu hésitais encore sur cette dernière et tu jurais les avoir vu ensemble pendant que tu emmenais Dawn. Par chance immense, Andy abandonna son ami en retrait pour se diriger vers son frère. Tu pressas le pas pour t’asseoir à côté de lui. « Dure journée hein ? Tiens, je t’ai pris à boire. Sans alcool évidemment. » Mais pas sans sédatif, pas désolé. Un calvaire que ce fut de porter Nassim. Bien bâti et plutôt fort, il était lourd à trainer. Tu maudis ce plan fait à l’arrache, heureusement qu’il ne restait plus qu’une personne car tu te sentais sur le point de tout lâcher.
”L’enlèvement de Andy Ollivander”:
Si tu devais écouter tes sentiments profonds, tu n’avais pas envie d’enlever Andy. Tu ne voulais pas que ton père la touche, car tu t’étais octroyé comme étant le seul à y avoir réellement droit. Elle cherche Nassim et tu t’approches d’elle avec douceur. « Je crois que ton ami est parti aux toilettes. » Devant sa mine déçu, tu fronces les sourcils et lui tend un verre. Mais elle le porte trop rapidement à ses lèvres et lui soupires. « Andy, tu ne te méfies jamais ? » elle te regarde avec un air interrogatif. « Non, rien. » et alors qu’elle tente de boire à nouveau, tu l’interromps. « Attends. » La pauvre doit ne rien comprendre. « C’est bon vas-y. » ultime tentative de s’abreuver et tu la stoppes de nouveau. « J’ai changé d’avis. » Andy renverse la boisson sans faire exprès. Dans un instant d’hésitation, tu sors la dernière seringue de ta poche, et tu la piques au niveau du bras.
Andy est sous ton bras Dave, tu la tiens contre toi comme un trésor volé. A pas de loups tu te retrouves devant le collègue de ton père, aussi fatigué que toi. Mais cette fois, tu allais faire le voyage également. Tu te places dans la cheminée, le garde du corps à tes côtés. La poudre de cheminette vous enflamme et vous disparaissez dans un nuage de fumée. Tu reconnais désormais les lieux, c’est le bureau de ton père, le premier ministre moldu anglais. Tu peux observer dans un sourire les corps de tes camarades endormis contre le mur. Tu devais désormais attendre le retour de Shumman père. Tu ne sais pas si tu es fier de toi ou si tu as honte. Tu ne ressens plus grand chose pour dire la vérité. Avec Andy toujours collée contre toi, tu vas t’asseoir entre Croyance et Arya. Tu fermes les yeux pour réfléchir, les secondes passent comme des minutes et tu rouvres les yeux quand tu entends la cheminée s’enflammer à nouveau et que tu aperçois ton père qui revient. Un sourire aux lèvres, tu sais d’ou le tiens vient.
« Bon retour, père. »
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Re: test putain Mer 21 Fév - 17:54
Tu es née Ernestine Wendy Jones, dite Nessie. Tu as 16 ans et tu es en cinquième année. Ton sang est mêlé car t'es la fille du bon vieux Ernest qui conduit le Poudlard express (oui il trouvait ça drôle d'appeler sa fille Ernestine, fille d'Ernest). Pas de particularité en vue à part le fait d'être maudite. Une sorcière shaman aux dons de voyance t'a prédit que tu mourrais avant tes 18 ans à 19h33. T'as la double nationalité Anglo-Ecossaise et vous vivez dans un village de campagne avec ton père. A poudlard, t'as pris les options divination et arithmancie. Plus tard, tu te vois morte ou bien conductrice du poudlard express. Ou un truc avec les trains, whatever. T'as pas d'avis sur les cracmols et les moldus, tu les tolères autant que les autres (c'est à dire peu).
On dit que tu ressembles fortement à Jessica Barden.
Ta baguette magique est en bois d'if, a un coeur de ventricule de dragon, fait 21 centimètres et est très rigide. Ton épouvantard n'est nul autre que le sinistros, car tu es extrêmement superstitieuse. Ton patronus est un gros dodo qui s'agite et s'anime de filets argentés. Si tu devais te regarder dans le miroir de risèd, tu ne te verrais pas spécialement différente de maintenant car à part vivre tu ne désires pas grand chose. Au dessus de la potion des amours, tu sens la bonne vieille odeur qu'on peut sentir sur le quai quand le train arrive, l'odeur du thé puis celle des brises de l'océan. A l'école, tu suis pas beaucoup les cours car ils t'ennuient. Mais tu es passionnée tordue de divination, car tu cherches à en savoir plus sur ton avenir. Ainsi que toutes les matières ou tu peux faire des maths. La créature qui t'inspire le plus, c'est le monstre du Loch Ness. Bah ouai, on t'a surnommé comme ça, et t'habite en écosse. Ton animal de compagnie c'est la chouette de ton père, Ernestor et ton écureuil volant Jack Daniels (bon c'est juste Jack mais t'es so edgy alors t'as rajouté Daniels).
curiouser and curiouser
la c o l è r e Les murmures hypocrites dans cet univers hostile, ça gronde dans ton coeur et ça se retourne dans ta tombe. Tu peux pas mourir Nessie, tant que l’orage s’agite et l’outrage t’anime. Tu peux pas crever maintenant alors que t’as tant de choses à accomplir.
Mais quoi d’ailleurs ? Qu’est-ce qui t’amène ici ? Rien du tout. Néant. Pas d’identité à part celle de vivre au travers des autres. Tu brilles qu’à travers les exploits de ceux qui se sont reposés sur toi, sans identité. On t’apprécie parce que tu les confortes, on t’envie pour ce que tu leur apportes. Mais c’est toi qui les envie putain. Ta seule rébellion c’est d’être en colère. Dans ta vulgarité s’envolent les paroles en l’air.
le s p l e e n Le spleen c’est pas vraiment une dépression. On l’emploie souvent à tort et à travers. Mais vivre dans le spleen c’est vivre au travers. Une profonde mélancolie qui se colle à ta peau comme une maladie. Tu vois pas tout en noir mais tu vois mal les couleurs. Un rien peut t’émouvoir pendant des jours et des jours, te tourmenter comme une obsession. Et demain sera froid et vide face à des pleurs. Rien pour t’obséder, le spleen de retour pour te plier à sa soumission. Mais c’est pas vraiment une dépression.
le c o n t r ô le Ceux qui contrôlent avidement leur désir, c’est que leur désir est assez faible pour être contrôlé. Est-ce que c’est réellement vivre que de vouloir exceller dans la maitrise? On se raccroche au contrôle quand on a plus rien qui nous donne envie de respirer librement. Et tu es prêt à brider le désir suprême pour mieux le contrôler, même si tu dois continuer à seulement inspirer expirer en oubliant de réellement vivre. Car même la source de ton existence tu veux la contrôler.
la l o y a u t é si vous comptez sur elle, vous n’aurez jamais son aide. si vous avez besoin d’aide, vous pouvez compter sur elle.
le m i r a g e Qui es-tu réellement ? jeune souriante et fidèle le matin, un fantôme qui a oublié votre existence le soir. Les faux semblant sont ta seule arme de survie dans ce monde pourri. La popularité t’accorde la notoriété et la reconnaissance. La vérité t’apporte la solitude et la tranquillité d’esprit, le loisir d’être toi même quand tu es dans ton lit, le soir. L’amitié n’est qu’un prétexte pour être plus fort à plusieurs, se rendre des services. L'instinct de survie. L’amour qu’une excuse qui se cache derrière le désir.
l’ e x a c e r b é e à la lumière des lumières artificielles, les pupilles dilatées par le manque de sommeil, tu peux pas t’empêcher de tout ressentir décuplé. Mais n’en déplaise, zéro qu’on multiplie par l’infini, ça restera toujours zéro.
le syndrome d'alice aux pays des merveilles (maladie de todd) Corps qui se déforment et le temps qui ne défile plus. Des sons étrangers et horrifiques viennent parasiter ta lucidité forcée. Tu tombes à genoux, les phalanges enfoncées dans la boue. Tu attends que ça passe, tu attends que ta perception de ta propre chair revienne à la triste réalité. Tes yeux sortent de leurs orbites trempés, tu te mords la langue alors que tes bras s’allongent. Tu ne peux plus te contenir de ne pas hurler. Charogne encore vivante qui rétrécie à vue d’oeil. C’est impossible, tout est si grand. Un monde de géant qui écrase tes poumons. Tu fermes les paupières d’une force démesurée, pour ne plus voir ses démons gargantuesques qui s’approchent de toi pour te ramasser. Et quand la membrane délivrent les globes oculaires… Tout semble être revenu comme avant. Les élèves te soutiennent pour t’aider à marcher tandis que tu te débats pour y arriver. Toute seule.
fille du conducteur du poudlard express ♔ s'est fait tatouer en secret il y a un an : 19h34 dans le cou ♔ très très superstitieuse (chat noir, chiffre 13, signes étranges) ♔ atteinte de la maladie de Todd depuis ses 10 ans ♔ un peu bizarre mais on s'habitue ♔ sourit très peu ♔ juge à l'apparence ♔ mais en vérité se sent extrêmement seule ♔ vous ghost par sms ♔ peut s’avérer cruelle quand c’est nécessaire ♔ déteste avoir tort ♔ adore porter des longues robes pulls en hiver ♔ porte des lunettes pour travailler ♔ a du mal à tomber amoureuse ♔ écrit des nouvelles dystopiques en secret ♔ voue une fascination malsaine pour la couleur blanche ♔ cynique ♔ déteste son anniversaire et ne le fête jamais d’elle même ♔ mélomane de musiques dépressives ♔ porte le même prénom que sa défunte grand mère ♔ chante faux ♔ vit très mal sa maladie même si elle réussit avec le temps à discerner les hallucinations du réel ♔ a son propre style ♔ fout rien en cours et a toujours des bonnes notes ♔ s'est déjà endormi dans le parc et a passé la nuit dehors car personne est venu la chercher ♔ elle est cool avec des lunettes de soleil.
“
IT WOULD BE SO NICE IF SOMETHING MADE SENSE FOR A CHANGE
”
19h33
Histoire en cours de rédaction.
Please come back later.
coucou c'est encore sweety, avec un cinquième personnage, j'espère que vous l'apprécierez car elle est très différente d'andy et cannelle, c'est un peu la personnification de ma dépression et j'espère m'éclater avec elle car sous ses airs un peu psychos elle est cool et a besoin d'amour ok?
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Re: test putain
test putain
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